Nos moutardes "Les DiaBLOTine"

Nos moutardes « Les DiaBLOTine »

Toute une gamme de moutardes pour mettre du piquant dans votre cuisine !

Info étiquette : Il n’y a pas de rajout de sucre dans nos recettes, le peu de sucre présent est celui contenu naturellement dans les graines de moutarde.

Moutarde à l’Ancienne

Les graines sont légèrement broyées avec leur tégument. Le goût est plus doux que la moutarde fine. Idéale pour la préparation de nombreux plats. Elle accommode aussi les viandes rouges, les soupes et la vinaigrette.

Moutarde à l’Ancienne au Moût de raisin

Douce, aromatique. Belle association pour une moutarde de table : le canard et le gibier.

Moutarde Fine et Forte

Les graines sont complétement broyées ce qui la rend plus piquante que la moutarde à l’ancienne. Moutarde de table par excellence.

Moutarde Fine aux deux piments

Forte et aromatique, elle s’utilise avec les viandes froides, la fondue ou les grillades de viandes rouges.

Moutarde Fine Ail et Persil

Adoucie par l’ail, elle est parfaite pour les vinaigrettes, les grillades de porc et les chipolatas.

Moutarde Fine Tomate et Basilic

Le mélange avec la tomate réhausse son piquant tout en conservant ses arômes. Bonne moutarde de table.

Moutarde Fine au Miel

Moutarde adoucie naturellement avec 4% de miel.

Moutarde Fine à l’ail des ours

Le mariage de la moutarde et de l’ail des ours : deux gros caractères. Il y a toujours de l’orage dans le ménage !
Vous êtes informés …

Moutarde Fine à la Noix

Les éclats de noix la destine à la vinaigrette, mais elle est très bonne en moutarde de table (attention, il n’y a pas de conservateur dans nos moutardes et la présence de la noix peut la fait griser).

Clin d'oeil

Dit tonton pourquoi ça pique ?
Les graines de moutarde contiennent naturellement des molécules de sinigrine et de myrosine. Sous l'effet du broyage et des mélanges au cours de la préparation de la moutarde, une réaction chimique crée de l’isothiocyanate d’allyle. Lors du passage de la moutarde dans la bouche, cette molécule entre en contact avec les cellules sensorielles de la langue, ce qui donne du goût. Lorsque cette molécule volatile atteint le palais et le traverse, elle stimule le nerf trijumeau, ce qui provoque le piquant !